Les personnes susceptibles d’être intéressées par ce site sont :
a) Les écrivains littéraires, les traducteurs, les auteurs d’ouvrages de sciences humaines ;
b) Les professeurs de français de l’enseignement secondaire et les instituteurs ;
c) Les professeurs et les étudiants de français-langue étrangère (F.L.E.) ;
d) Les professeurs d’universités francophones ;
e) Les élèves francophones de l’enseignement secondaire ;
f) Les étudiants préparant un mémoire de diplôme ou de maîtrise de sciences humaines (lettres, théologie, droit, psychologie) ;
g) Les candidats au doctorat ;
h) Les professionnels de l’édition : éditeurs, correcteurs, imprimeurs et typographes ;
i) Les professionnels de la presse écrite : rédacteurs, journalistes, correcteurs ;
j) Le personnel administratif * de services publics tels que ministères, départements fédéraux, cantonaux et municipaux (mairies), tribunaux ; directeurs généraux, chefs du personnel (ressources dites humaines) secrétaires, greffiers, dactylographes ;
k) Le personnel administratif du secteur privé : sociétés du secteur tertiaire, conseils d’administration, organisations internationales, non gouvernementales, etc. ;
l) Le personnel des secrétariats d’études d’avocats ou de notaires, de cabinets médicaux, psychanalytiques, etc. ;
m) Les responsables d’institutions publiques et privées, d’organisations politiques et syndicales, de paroisses, d’associations diverses, etc.;
n) Les personnes dont le français n’est pas la langue maternelle ;
o) Bref, toute personne soucieuse d’écrire d’une manière à la fois claire, correcte et précise.
Ce site, enfin, s’adresse aux établissements publics ou privés où l’on enseigne le français, telles les Facultés des lettres et de sciences humaines en général, les Hautes Ecoles de traduction et d’interprétation, les écoles de journalisme, les Cours d’été de français-langue étrangère (F.L.E.) des universités francophones, ainsi que les organismes de terminologie française comme le Fichier français de Berne.
N.B.― Le personnel étant un singulier dit collectif, désignant « l’ensemble des personnes travaillant dans une maison, une entreprise, un service », ce substantif n’a aucune raison d’être employé au pluriel, comme s’en répand l’usage abusif aujourd’hui. Il est vrai que l’individualisme exacerbé régnant à notre époque ne porte guère l’individu à s’effacer derrière l’appartenance à une collectivité…
― En matière de grammaire le masculin étant le genre dit indifférencié ou non marqué, il va sans dire que les femmes sont incluses dans les diverses catégories énumérées ci-dessus !